Il est des matins où le rideau de la chambre s'ouvre sur un cadre de scène, où la fenêtre dévoile source d'émerveillement. Des matins où l'on perd ses repères, entre la vraie vie et le monde rêvé. Sur le moment, on ne réalise pas qu'on vit des instants de grâce. Et puis quand on revoit les photos, on se souvient qu'on a été là, à ce moment là, dans ces couleurs là, et que c'était épatant.